Cassons les idées reçues ! Cliché n°5 : “Impossible d’entreprendre en famille en tant que franchisé”

Vous avez le sentiment qu’il n’est pas possible d’entreprendre en famille lorsque l’on veut se lancer dans le monde de la franchise ? Détrompez-vous, c’est tout à fait possible chez Norauto ! Et en plus, vous découvrirez de multiples avantages !

Les bénéfices d’entreprendre en famille

Se lancer en tant qu’entrepreneur est une aventure qui peut s’avérer intimidante au début. Horaires flexibles, revenus inconstants les premiers mois… Le soutien familial est essentiel pour ne pas se sentir seul. Alors, embarquer sa famille dans le projet peut être la bonne idée pour relever au mieux le challenge de la franchise. Travailler avec son conjoint, son frère, sa sœur ou encore ses enfants permet de s’assurer de collaborer avec des personnes de confiance qui redoubleront d’énergie pour la réussite de l’entreprise. C’est pour ces raisons que près de 50% des franchisés Norauto ont fait le choix de travailler en famille !

Un patrimoine à transmettre

En plus de permettre de passer plus de temps avec ses proches, entreprendre en famille est également l’occasion de construire un avenir à ses enfants. Ceux qui font le choix de se mettre à leur compte en tant que franchisé ont la possibilité de transmettre un patrimoine.

Selon la 2ème Édition du Baromètre sur les Entreprises Familiales et les Enjeux de la Transmission de 2017, 38% des dirigeants sont motivés dans l’idée de transmettre leur entreprise dans le cadre de leur famille. Pour 76% d’entre eux, le repreneur idéal est un membre de la famille. 59% ont déjà désigné un membre de la famille comme successeur de l’entreprise familiale et parmi eux 67% ont déjà pris leur dispositions comme le pacte Dutreil, le démembrement ou le mandat posthume.

Bien vu par les franchiseurs

De plus, les projets menés en famille ou en couple ont plutôt la côte auprès des franchiseurs. Pourquoi ? Parce que les franchisés mettent leur entreprise en priorité et sont capables de bien mener de front la cellule familiale et la sphère professionnelle. Le franchiseur est donc rassuré que rien ne viendra perturber leur ambition. En 2016, le directeur général de la franchise Norauto soulignait que l’enseigne appréciait fortement de travailler avec des couples entrepreneurs : “c’est à la fois rassurant pour le franchiseur car il s’appuie sur deux personnes liées par une même ambition, et nous apprécions de pouvoir parler autant à Monsieur qu’à Madame en brisant le clivage de « l’homme à l’atelier, sa femme à l’accueil et à la comptabilité », car les épouses aujourd’hui prennent beaucoup en charge le marketing, la stratégie commerciale, quand la compta, elle, est bien souvent externalisée.”

Le succès des entreprises familiales françaises

Selon la 8ème Édition de l’Étude Global Family Business de 2017 a qui interrogé 40 entreprises familiales dans différent domaines, dont celui de l’automobile, les entreprises familiales françaises sont plus performantes que la moyenne. En effet, 83% ont fait progresser leur chiffre d’affaires en 2016 (contre 64%) tandis que seulement 10% d’entre elles ont connu un recul de leurs résultats. Comme quoi, l’union familiale fait la force.

Les clés de la réussite

Lorsque l’on décide de se lancer dans l’aventure de la franchise en famille, la communication doit être au centre du projet pour que tout se passe au mieux. Tout d’abord, avant de se lancer, il faut se poser les bonnes questions et discuter longuement des tenants et aboutissants. Il est important de concevoir la franchise comme un véritable projet de vie et non pas comme un projet annexe, un projet en plus d’un autre métier. Il faut accorder de son temps et de son cœur pour le faire aboutir.

Une fois la question de l’investissement personnel réglé, il est primordial de bien s’accorder sur la répartition des tâches et des rôles. Il est essentiel de faire en sorte que les attributions soient équitables et égales pour qu’aucun membre de la famille ne se sente lésé. Il faut aussi être en mesure de séparer le personnel du professionnel pour collaborer de manière optimale.

L’accompagnement Norauto

Une autre clé de la réussite est de profiter de l’accompagnement de Norauto. Pascal et Brigitte ont ouvert un centre Norauto à Cavignac (33) près de Bordeaux en juillet 2017. Dès le départ, ils ont été suivis par l’équipe Norauto dédiée à la franchise. “Le process de recrutement Norauto est vraiment bien pensé”, explique Brigitte. “Nous avons pu poser toutes nos questions sans filtre et Norauto ne nous a rien caché. Nous avons aussi rencontré des franchisés qui nous ont conseillé. Il y a énormément de bienveillance entre les franchisés Norauto, une sorte de seconde famille !”

Le couple a également suivi des formations pour se doter de nouvelles compétences nécessaires pour le pilotage d’un centre automobile : comme le management, la vente, la gestion des stocks et bien d’autres éléments. “Même si nous étions impatients de commencer notre nouvelle vie pro’, ces 3 mois de formation en succursale n’ont pas été de trop !”, indique Pascal. Brigitte explique avoir particulièrement apprécié participer à La semaine du Dirigeant : “les échanges avec les membres de Norauto ainsi que les thématiques de management, finance et marketing sont très intéressantes.”

Devenir directeur d’une franchise

« Franchisé Norauto, c’était l’opportunité de continuer à faire ce que j’aimais, tout en profitant des avantages à être à son compte », raconte Julien Patry, directeur de franchise du centre Norauto de Milly-la-Forêt dans l’Essonne (91) en Île-de-France. Ancien salarié de Norauto, il a décidé de se lancer dans l’entreprenariat aux côtés de son ancien employeur. Julien apprécie l’esprit Norauto : « de l’humain, de la simplicité, de la convivialité. Norauto est une entreprise familiale ! Et j’ai eu le plaisir de retrouver cela dans la franchise Norauto. »

Pour devenir directeur de franchise, Julien estime qu’il ne faut pas avoir peur de se confronter aux difficultés, ne pas se surestimer et savoir faire preuve d’humilité. « Le métier de directeur de franchise Norauto demande de la polyvalence : on est à la fois chef d’équipe, gestionnaire, conseiller client et technicien atelier. » Ce poste lui a permis de gagner en autonomie et d’avoir le sentiment d’être mieux récompensé sur les efforts produits.