Osons nous transformer ! Convention 2022

04/10/202216/03/2023
par technique

Début Octobre, plus de 100 franchisés se sont réunis à Opio dans le Sud de la France, pour échanger sur notre actualité et les enjeux que connaissent le marché de l’after market automobile (digitalisation, électrification du parc, nouveaux usages, développement durable…).

Résumé de ces deux enthousiasmantes journées en vidéo !

Version courte : https://vimeo.com/764573752/808314bcb5

Version longue : https://vimeo.com/763365087/1a0ce91368

Ça bouge chez Norauto

Ouvrir un centre auto, rencontre avec Xavier, Chargé d’expansion

20/09/202231/01/2023
par technique

Le métier de chargé d’expansion chez Norauto Franchise : interview de Xavier Pajot

De directeur de centre auto au métier de chargé d’expansion pour la franchise Norauto, il n’y a qu’un pas. Découvrez le parcours professionnel ainsi que le métier de Xavier Pajot, qui a rejoint l’entreprise en 1994.

Un parcours professionnel orienté client

Après avoir réalisé des études de droit et management de la distribution, Xavier Pajot entre chez Norauto en 1994. Après un parcours solide de 9 ans comme directeur de centre en succursale, puis au sein du service expansion – direction de l’aménagement, Xavier rejoint le service expansion, où il accompagne les entrepreneurs souhaitant devenir franchisés Norauto. Son expérience de directeur de centre est aujourd’hui un atout précieux dans son métier de chargé d’expansion : il peut répondre aux interrogations et comprendre les craintes des futurs franchisés : “C’est un plus dans mes relations avec les franchisés, les échanges sont facilités”.

De l’étude à la validation du projet, le coeur de métier du chargé d’expansion

“Notre travail : cibler les villes et les opportunités pour les proposer à nos entrepreneurs”. Avant de soumettre un site à un franchisé, Xavier se charge de vérifier le potentiel et le marché. L’objectif final est donc de rapprocher un candidat avec la meilleure opportunité.

Différents cas de figures peuvent se présenter, des projets en portefeuille, à la prospection de terrains, bâtiments ou centre auto, Xavier s’assure que la zone géographique retenue corresponde aux ambitions du franchiseur, mais aussi des potentiels candidats.

“D’avoir été directeur de centre Norauto m’aide au quotidien dans mon métier : je me projette plus facilement sur les sites que je souhaite proposer aux entrepreneurs”.

Pour autant, Xavier est en veille permanente : “il y a déjà des villes cibles que j’ai définies, avec un potentiel de Chiffre d’Affaires”. Lorsque de nouvelles opportunités se présentent, Xavier se charge alors de l’étude de la zone de chalandise pour vérifier son potentiel. Si l’étude théorique du marché réalisée est positive, Xavier se rend sur place afin de confirmer la faisabilité.
L’objectif de cette méthodologie est de s’assurer que la franchise Norauto réponde à un besoin de la clientèle ! “Nous devons également éviter un risque de cannibalisation entre nos centres”, nous confie Xavier. En effet, avec plus de 400 centres sur le territoire, chaque Norauto doit respecter une certaine distance. Une fois le projet validé, Xavier peut alors accompagner le futur franchisé.

Une équipe expansion pour accompagner les entrepreneurs

Pour accompagner au mieux les entrepreneurs et futurs franchisés, Xavier travaille en étroite collaboration avec Benoit Havret, Leader Expansion Développement également. Chacun gère une partie du territoire français.

Pour mettre toutes les chances du côté des franchisés, Xavier s’entoure également d’une équipe dédiée aux travaux. Ensemble, ils mettront sur papier le plan du bâtiment dans le cas d’une construction ou la rénovation dans le cas d’une reprise de bâtiment.

Les franchisés qui le souhaitent peuvent être accompagnés par l’équipe expansion sur chacune des étapes du projet. Que ce soit dans les démarches administratives, dans la prise de contact avec les fournisseurs, dans l’aménagement de leurs locaux, les baux à signer ou la maîtrise d’œuvre, Xavier les aide et les accompagne à l’ouverture de leur centre.
“Nous sommes dans une optique gagnant-gagnant : si nos futurs candidats s’implantent correctement, cela signifie que leur franchise fonctionnera. Nous sommes dans une relation franchisé-franchiseur, s’ils réussissent, nous réussissons également”.

L’histoire de Norauto, basée sur le principe d’expansion

Eric Derville a créé Norauto en 1970, dans la Métropole Lilloise. Depuis plus de 50 ans, Norauto est implanté sur l’ensemble du territoire français. Nous comptons à ce jour plus de 411 centres, dont 271 succursales et 140 franchises. Norauto Franchise s’est également implanté en Corse ainsi que dans les départements d’Outremer (en Guyane, en Guadeloupe, à La Réunion et en Martinique).

Norauto s’est d’abord installé dans les grandes villes en ouvrant des magasins succursales. C’est à partir de 2003, avec le rachat de Maxauto et de ses 54 centres, que les franchises Norauto se développent. En 2022, de nouvelles ouvertures de franchises ont eu lieu en France : à Ibos (65), Crolles (38), Clermont l’hérault (34), Albi (81) et Ploërmel (56).
Norauto est leader du centre auto en France ! Et si vous rejoigniez notre réseau de franchises ?

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Actualités

Interview de Bertrand Godignon, jeune multi-franchisé

19/08/202230/01/2023
par technique

Interview de Bertrand Godignon, jeune multi-franchisé

Comment à 31 ans peut-on être à la tête de 8 franchises Norauto ? C’est la question que nous avons posée à Bertrand Godignon, entrepreneur de talent qui, au départ, ne se prédestinait pas au métier de multi-franchisé. Une aventure professionnelle à découvrir !

Un challenge devient vocation

Une rencontre : c’est le point de départ de cette entreprise familiale. Une vision d’entrepreneur commune entre le père de Bertrand et Monsieur Derville, fondateur de Norauto débouche sur l’ouverture d’un premier centre auto, puis un deuxième, jusqu’à 8 aujourd’hui.

“Au départ, je n’étais pas dans l’optique de travailler au sein du groupe. J’ai un master spécialité digitale. J’ai réalisé mon stage dans une société de conseil. J’ai ensuite travaillé pendant 2 ans chez CGI, une société de conseil.” Rapidement, un manque de sens s’installe dans sa routine professionnelle. “Je suis alors parti 1 an faire de l’humanitaire à Madagascar avec la volonté d’en faire ma carrière.”
Mais son frère Nicolas a besoin d’un directeur de centre, le temps de recruter quelqu’un. “Je l’ai dépanné pendant 6 mois, et j’ai pris goût au challenge !” Puis, Nicolas souhaite évoluer dans un secteur différent, alors Bertrand reprend le groupe des 8 franchises.

D’abord directeur de franchise…

Le défi du franchisé consiste en la recherche d’un équilibre entre profit et satisfaction client. Plusieurs enjeux de la distribution se jouent en magasin : la logistique, la gestion des stocks, les relations avec les fournisseurs, la théâtralisation des produits en magasin. “Un directeur magasin aime être sur le terrain et au contact permanent des collaborateurs et de sa clientèle.”
Pour un directeur de centre auto, la phase indispensable est celle du terrain pour appréhender toutes les facettes du métier notamment la mécanique. “C’est nécessaire de connaître le métier pour donner un bon cadre aux équipes, pour monter en compétence et améliorer fondamentalement son management et sa relation client.”

… puis franchisé multi-site

De nombreux franchisés, comme Bertrand, sautent le pas du multi-sites, preuve que le concept Norauto fonctionne. Pour autant, les métiers de directeur de franchise et franchisé multi-sites sont très différents.

“Le franchisé multi-sites doit pouvoir prendre du recul pour construire une vision à long terme pour tous ses centres. Il doit être prêt à déléguer la comptabilité, la finance et les ressources humaines et veiller à structurer l’organisation de son entreprise en même temps qu’elle grandit”.

La crise et le monde du travail

Un des rôles d’un franchisé multi-franchise consiste à répondre aux enjeux de la société. Avec la crise, le fossé se creuse davantage entre les plus riches et les plus pauvres. Le pouvoir d’achat est au cœur des préoccupations des collaborateurs, rendant la masse salariale volatile.

“Aujourd’hui, les salariés vont au plus offrant, même en dehors de leur secteur d’activité principal. Avant on changeait 3 fois d’employeur dans sa vie, aujourd’hui un jeune change 12 fois.”
Fidéliser les collaborateurs est alors une nécessité, notamment en activant 2 leviers : la réévaluation de salaire et les perspectives d’évolution. C’est pourquoi Bertrand a retravaillé le système de prime d’intéressement et a augmenté tous les collaborateurs en milieu d’année 2021.

Vers un management positif

Et Bertrand de s’arrête pas là. Il prône un management moins descendant et plus participatif. L’objectif ? Que chacun se sente considéré et s’implique dans la vie de l’entreprise.

La richesse du concept Norauto c’est de vendre du service et du produit en un même lieu. “C’est très challengeant de gérer à la fois une équipe de vendeurs et une équipe de mécaniciens et de les réunir autour d’une vision commune.” En vente, il faut être très dynamique, pédagogique et empathique. En atelier, il faut savoir rester productif avec des conditions de travail changeantes au fil des saisons. Deux métiers qui ont chacun leur part de difficultés. “Quand on arrive à fédérer 2 univers autour d’un même projet, c’est très valorisant.”

“D’autre part, on assiste à une crise de la représentativité : une vraie remise en cause de l’autorité publique et par extension la manière dont les systèmes hiérarchiques régissent les collaborateurs.” Alors, il organise des ateliers de travail et repense une intégration plus longue en formant les collaborateurs à plusieurs postes sur différents magasins. “En provoquant des rencontres avec d’autres collaborateurs, on se sent plus rapidement appartenir à un groupe.”
Même chose pour la formation : il augmente la fréquence des bilans de compétences et la durée des plans de formation. “Nous souhaitons conserver et faire évoluer nos collaborateurs, et nous faisons tout pour. Par exemple en créant des postes intermédiaires, les adjoints, qui permettent une montée en compétence en douceur sur le poste convoité. D’une part, cela soulage les managers et d’autre part cela permet au collaborateur de se rassurer sur sa future prise de fonction.”

Des solutions aux mutations du secteur automobile

Beaucoup de candidats à la franchise s’inquiètent de l’arrivée sur le marché des voitures électriques qui exigent moins d’entretien que les thermiques. L’Etat encourage les achats avec pour volonté 100% des voitures électriques en 2035. Même si l’objectif est ambitieux, les garages, sans anticipation, perdraient en chiffre d’affaires. Norauto a pris les devants et propose déjà l’entretien des véhicules électriques et hybrides ainsi que des outils et formations adéquates à ses franchisés.

La solution ? Surfer sur la vague et développer d’autres prestations en faveur de la mobilité douce, un sujet mené depuis de nombreuses années chez Norauto. Accompagné par l’enseigne, Bertrand l’encourage dans ses centres autos, notamment en proposant à la vente, à l’entretien et à la réparation des vélos et trottinettes électriques. “Norauto nous offre une grande liberté d’entreprendre. Avec notre “corner deux roues”, je propose des prestations de réparation de vélos toutes marques et pas forcément électrique.”
Autre conseil de Bertrand : ne pas hésiter à développer des partenariats. Les technologies automobiles devenant de plus en plus complexes, il peut être intéressant de confier certaines prestations à des spécialistes comme par exemple le pare-brise, un métier qui s’est complexifié au fil des années avec la technologie embarquée.

Les avantages à entreprendre en franchise avec Norauto

“Ce que j’apprécie particulièrement avec Norauto c’est qu’ils sont très proches de leurs franchisés grâce au suivi régulier des directeurs de secteur.” Bertrand précise qu’ils sont toujours disponibles pour répondre à tous types de problématiques d’ordre terrain, financier, logistique, informatique et commercial.

L’enseigne est également porteuse de nombreux projets : service de location, entretien mensualisé, mobilité douce, etc. Souvent, c’est la clientèle locale qui détermine l’opportunité. Libre au franchisé de la saisir ou pas.
“Norauto, c’est aussi une marque forte, leader sur son marché, en termes de nombre de centres auto et Chiffre d’Affaires. Les campagnes de communication sont puissantes : radio, télé et sponsoring sur le Tour de France cette année par exemple. Pour entreprendre, il n’y a rien de plus rassurant.”

Ça bouge chez Norauto

Reprise : de salarié en grande distribution à franchisé…

19/08/202227/02/2023
par technique

Reprise d’une franchise : de salarié à franchisé Norauto

Vous pensiez qu’il fallait des compétences mécaniques pour reprendre un centre Norauto ? Pas nécessairement. De salarié dans la grande distribution, Franck Hamadi est passé à franchisé Norauto. Découvrez son parcours !

Une âme entrepreneuriale en sommeil

Franck Hamadi a toujours eu l’âme entrepreneuriale. Mais c’est à 46 ans qu’il l’a vraiment révélée. Après un bac en comptabilité et gestion, il travaille dans le commerce et le textile, puis 14 ans dans la grande distribution. De vendeur, il passe à chef de département. C’est quand il est contacté par une enseigne d’achat/vente de produits d’occasion que ses envies d’indépendance se réveillent. Il démontre alors ses compétences en tant que commerçant et gérant en implantant un magasin de A à Z : achat de mobilier, recrutement, achat de stock, vente en magasin, etc.

Une opportunité à saisir ?

Il y reste 9 ans en tant que directeur jusqu’à ce qu’une nouvelle opportunité se présente. Le directeur du centre Norauto avoisinant son magasin lui parle de la possibilité d’entreprendre en franchise chez Norauto. “Étant donné mon niveau en mécanique, je ne m’y voyais pas”, nous explique Franck. “Mais il m’a assuré que cette compétence n’était pas indispensable. En centre Norauto, c’est le chef d’atelier qui manage les mécaniciens. Il a ajouté qu’il me suivrait si j’ouvrais mon propre centre auto, ce qui a fini de me convaincre !”
En effet, ce sont davantage les profils entrepreneurs et leur lot de compétences commerciales, managériales ainsi que la capacité à assurer une bonne gestion , que recherchent les recruteurs de la franchise Norauto, plutôt qu’une expérience technique pure. “Le parcours de recrutement est sélectif. Mais c’est pour garantir la réussite de leurs franchisés. Ils n’ouvrent pas coûte que coûte. Avant de m’engager, j’ai rencontré plein de franchisés et j’ai eu plein de bons retours, ce qui m’a rassuré.”

Des motivations entrepreneuriales

“Je ne voulais pas nécessairement gagner plus d’argent : j’avais un réel besoin d’entreprendre.” Franck est porté par d’autres motivations comme celle d’être indépendant d’un patron et d’avoir le sentiment d’avoir construit quelque chose en fin de carrière, ce que ne lui permettait pas le statut de salarié.

Le choix d’entreprendre accompagné

Pour autant, il ne se sentait pas d’entreprendre seul. “À 46 ans, je voulais démarrer rapidement. Je ne voulais pas partir de zéro. C’est pourquoi j’ai décidé d’entreprendre en franchise. Et Norauto est leader sur son marché.”

Une fois sa candidature validée, c’est Franck lui-même qui a trouvé son futur centre en consultant la carte des reprises Norauto.
Le parcours Norauto a pris 2 ans du premier rendez-vous à la reprise de sa franchise Norauto à Malemort-sur-Corrèze. “J’ai apprécié l’accompagnement Norauto sur les aspects juridiques, négociation, comptabilité, etc.”

Une réussite à tous les niveaux

Au bout d’un an, Franck Hamadi peut être satisfait de la réussite de sa franchise. En effet, il a déjà réalisé 40% de plus que son prévisionnel, qui estimait 1 400 000 € de Chiffre d’Affaires à 3 ans. Il atteindra probablement entre 1 700 000 € de CA.

Un vrai esprit d’équipe règne au Norauto de Malemort-sur-Corrèze. Franck a su garder l’équipe existante en faisant évoluer les collaborateurs les plus anciens sur des postes de manager, puis en recrutant 5 personnes supplémentaires. Il avoue manquer encore de compétences en technique. mais que ce n’est toujours pas un problème : son chef d’atelier et son chef des ventes sont là pour le suppléer dans cette fonction.
De son côté, Franck gère l’opérationnel, le management et le recrutement, en s’inspirant de ses précédentes expériences. Il veille à l’épanouissement professionnel de chaque collaborateur. “J’ai une bonne équipe, et je fais en sorte de leur donner des raisons de rester ! Ils m’aident à développer l’entreprise, c’est normal qu’ils en voient les retombées.”

Le conseil de Franck ?

À toute personne qui hésiterait à investir en franchise, Franck n’a qu’un mot : “Ne pas avoir d’a priori ! Si je n’avais pas échangé avec le franchisé de Norauto de Carcassonne, je n’aurais jamais franchi le pas.”
Il confirme que les compétences techniques ne sont pas indispensables, même si elles s’acquièrent avec l’expérience . “Si on est commerçant avec un très bon relationnel clients, on s’en sort très bien, à condition d’être bien entouré et de pouvoir compter sur son équipe”. Ce qui est clairement son cas !

Témoignages

10% de nos franchises sont tenues par des femmes,…

04/01/202129/06/2023
par anthonyv1

Interview de Sophie, responsable de la franchise de Saint Hilaire de Loulay

On ne pensait pas que le retour sur investissement arriverait si rapidement.

Sophie et Arnaud ont décidé de se lancer en franchise et ont ouvert leur centre auto il y a tout juste un an : l’occasion de faire le point sur cette première année en tant que franchisé Norauto. Sophie nous dit tout !

Toute l'équipe de la franchise Norauto de Sophie

Pourquoi avoir choisi la vie d’indépendant ?

Depuis de nombreuses années, Arnaud souhaitait créer son entreprise, mais à 40 ans et 3 enfants, le risque était devenu trop important… Le choix de la franchise est alors devenu pour nous une évidence. Quand il a voulu monter son centre auto, il a su trouver les arguments pour me convaincre !

Comment avez-vous vécu cette année en tant que franchisé ?

On l’a bien vécue, 2018 fut une année enrichissante et très dense ! Se lancer dans l’entreprenariat demande beaucoup d’énergie et d’investissement. Quand on ne vient pas du centre auto et de Norauto, il faut tout apprendre. Heureusement, la formation de 3 mois dans un centre Norauto nous a donné les premières bases des multiples facettes du métier de directeur de centre auto.

On n’a pas peur de se salir les mains pour venir en renfort d’une autre équipe.

Nous avons aussi pris le temps de nous constituer une équipe solide: nous avions besoin de salariés en qui avoir confiance. Avec l’aide Norauto Franchise, nous avons pu les former en amont de l’ouverture, ce qui nous a permis d’être prêts dès le premier jour. Notre présence et l’animation de l’équipe au quotidien est essentielle pour la cohésion de l’équipe et le bon fonctionnement du centre.

On n’a pas peur de se salir les mains pour venir en renfort d’une autre équipe.

Parlons de réussite, justement : les résultats de votre premier année en franchise correspondent-elles à vos attentes !

Après seulement un an, nous constatons des résultats positifs: le retour sur investissement pointe déjà le bout de son nez ! On ne pensait pas que cela arriverait si rapidement.

On a vraiment envie de partager notre expérience et de transmettre notre envie d’entreprendre.

Comment voyez-vous 2019 pour vous et vos salariés ?

Au bout d’un an, nous pouvons dire que nous avons trouvé une organisation. Chacun maîtrise les aspects de son poste et, de ce fait, on se sollicite moins les uns les autres. Nous allons pouvoir nous consacrer davantage à d’autres tâches, même si on tient à garder cette polyvalence !

On n’a pas peur de se salir les mains pour venir en renfort d’une autre équipe surchargée de travail. Arnaud fait parfois du montage de pneus, de batteries, d’ampoules… pour aider l’équipe atelier quand elle en a besoin. Il a acquis ces connaissances pendant la formation qui lui a été dispensée chez Norauto.

Il aide l’équipe atelier quand elle en a besoin

Cette année, vous organisez une journée découverte Portes ouvertes de la franchise dans votre centre ?

Nous sommes flattés d’avoir été sélectionnés pour organiser cette journée découverte de la franchise dans notre centre auto ! C’est lors d’une journée de ce type que nous avons nous-mêmes découvert Norauto Franchise. On a fortement apprécié la démarche et aussi la rencontre avec l’équipe de Norauto Franchise. C’est à notre tour d’apporter notre pierre à l’édifice en ouvrant les coulisses aux futurs franchisés ! On a vraiment envie de partager notre expérience et de transmettre notre envie d’entreprendre.

Avez-vous un message pour les futurs candidats à la franchise ?

Si vous n’avez pas peur de l’effort, que vous êtes de nature commerçante, gestionnaire et manageur, vous pouvez réussir ! Il ne faut pas nécessairement avoir de compétences techniques en automobile !

Si vous avez l’âme d’un entrepreneur, venez-nous rencontrer (nous et l’équipe de Norauto Franchise) lors de la journée Portes Ouvertes !

Journée découverte de la franchise le mardi 19 février 2019 de 8h30 à 18h.
Au centre Norauto de Saint Hilaire de Loulay, Route de Cholet, 85600 Montaigu.
Inscription obligatoire avant le 8 février via franchise@norauto.fr ou au 03 59 31 82 85.

Témoignages

Interview croisée : comment se passe la formation d’un…

25/05/202029/05/2020
par anthonyv1

Interview croisée : comment se passe la formation d’un franchisé en centre auto ?

Futur franchisé, Yannick Hermon va prochainement diriger le centre Norauto de Trets (13), dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Il a déjà suivi des formations dans deux centres auto, l’objectif de cette dernière dans le centre auto de Le Pont de Beauvoisin (73) est de mettre le point final à son parcours de formation, notamment en le mettant au coeur de l’action : au contact du client. C’est Michel Barral, expert métier, qui se charge de la lui dispenser. Bien évidemment, cette poursuite de formation se fera dans les règles de sécurité sanitaires requises au vue des circonstances actuelles. Les deux hommes se sont prêtés au jeu de l’interview pour nous raconter leur collaboration.

Du retail à l’automobile

Yannick a été directeur de magasin pendant 15 ans. Après une école de commerce, il a commencé comme chef de rayon, pour ensuite gravir tous les échelons. Après avoir réalisé tout son parcours professionnel dans le Retail, il a voulu changer de secteur d’activité. “Avec la montée du e-commerce, on a très peu de visibilité sur ce que sera le magasin de demain. Alors que le concept Norauto de magasin attenant à un atelier de réparation automobile est viable à long terme : les gens auront toujours besoin de faire réparer leur voiture, tout comme ils auront besoin de conseils en magasin pour l’entretenir.”

Le choix d’entreprendre en franchise était pour lui une évidence : “le franchiseur nous fait gagner du temps sur les process, les outils, le marketing, la publicité, la R&D… Beaucoup de personnes travaillent pour nous afin que nous puissions nous concentrer sur notre coeur de métier : faire venir nos clients au centre, répondre à leurs besoins et leur donner envie de revenir.”

La formation d’un franchisé sur le terrain

Michel Barral est expert métier magasin pour la franchise Norauto. Son métier consiste pour l’essentiel à accompagner les franchisés avant et après leur ouverture, par le biais de formations sur le terrain. “J’ai un rôle d’accompagnateur sur le terrain. Mon objectif est de les rendre les plus autonome possible, alors j’évite de faire à leur place et les laisse expérimenter”.

Yannick a réalisé sa formation dans 3 centres auto différents. D’abord à Aubagne (13), une succursale de Norauto, où il a pu manier les outils informatiques qui aident les franchisés au quotidien tout en gérant un flux client important, propre à ce centre. Son stage découverte d’intégration s’est déroulé chez le franchisé Marc Casabianca du centre auto de Venelles (13), qui lui a partagé son expérience, notamment sur la partie comptabilité. Il termine actuellement sa formation au Norauto de Pont-de-Beauvoisin (38), notre centre pilote, qui est aussi une succursale mais qui fonctionne comme un site de franchise, notamment au niveau de la prise de commande non automatisée.

“L’objectif de cette dernière formation est de mettre le futur franchisé en situation, comme s’il était prêt pour le jour de son ouverture. Il prend les rennes du centre, tout en restant polyvalent sur les autres métiers, qu’il a pu expérimenter au cours des formations précédentes”, nous précise Michel.

CONTACT EXPRESS

La formation Norauto, à l’heure du bilan

Yannick nous raconte son recrutement chez Norauto : “le processus est bien rôdé. L’objectif de Norauto n’est pas de créer des franchises à n’importe quel prix. Norauto fait tout pour éviter les échecs. Ils s’assurent de trouver le bon profil candidat afin de garantir sa réussite.”

Il dit vrai : Norauto mise davantage sur des profils que sur des diplômes. Yannick tient à démonter un préjugé : “il faut avant tout être commerçant dans l’âme, un bon manageur et avoir un minimum de sensibilité à la gestion. Même s’il est vrai que la connaissance technique est un plus, il est toujours possible de bien s’entourer, d’où l’importance de savoir recruter le bon chef d’atelier.”

Il précise ensuite que si l’on dispose naturellement de ses qualités, Norauto fera le nécessaire pour nous faire monter en compétences grâce à un panel très large de formations. “Il ne faut pas hésiter à être moteur de sa formation et demander à travailler sur certaines de ses faiblesses, Norauto n’a pas de compteur de temps de formation et en dispense sans compter à ses franchisés qui en font la demande. Les équipes Norauto sont très à l’écoute et réactifs : la moindre sollicitation trouve sa réponse, ils sont vraiment engagés vis à vis de leurs franchisés. J’ai été très agréablement surpris.”

Et quand on lui demande s’il a rencontré des difficultés majeures au cours de sa formation, Yannick explique qu’il a évolué en terrain familier en retrouvant le même esprit de groupe. “Sur un secteur d’activité pourtant différent, je me suis aperçu de similitudes avec mes expériences précédentes : des systèmes d’informations identiques (notamment avec une centrale d’achat puissante), des valeurs managériales communes avec une marque axée sur le client, en quête constante de perfection pour le satisfaire.”

Et à l’issue de cette dernière formation ?

“Après avoir préparé le franchisé à son nouveau métier, mon rôle consiste à lever les dernières inquiétudes en vue de l’ouverture du centre”, explique Michel Barral. C’est pourquoi Yannick reviendra 3 jours dans le centre de Pont-de-Beauvoisin (73) pour valider ses acquis et être fin prêt pour la période post-ouverture.

Yannick va mettre en place toute l’implantation du magasin, et notamment de la marchandise. Il va devoir gérer ses équipes en les formant à distance, avec des contraintes plus fortes en temps de Covid-19 pour respecter les mesures sanitaires.

“On a gardé la même date d’ouverture. Et je serai bien entendu sur place pour l’aider, lui et ses équipes, pendant 3 semaines”, ajoute Michel.

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Témoignages

Interview croisée : Deux franchisés Norauto, nous parlent du…

17/03/202030/01/2023
par anthonyv1

Interview croisée : deux franchisés Norauto, nous parlent du management des équipes

Etre franchisé, c’est maîtriser toutes les facettes du métier de directeur de franchise, et notamment le management. Nous avons recueilli les témoignages de deux franchisés : David qui a créé son centre auto à Albert dans la Somme (80) en région Hauts-de-France et Sébastien qui a repris le centre de Saint-Jory en Haute Garonne en région Occitanie.

L’expérience prime sur les diplômes pour devenir manager en franchise

Chez Norauto, aucun diplôme n’est requis pour devenir franchisé. Nous misons sur l’expérience, la personnalité du candidat et ses motivations professionnelles comme personnelles à devenir son propre patron.

Quand il a voulu sauter le pas de l’entrepreneuriat, David Darras s’est rendu au salon Franchise Expo de Paris, directement sur le stand Norauto. “J’ai toujours eu dans l’idée d’être mon propre patron un jour. Et la franchise me semblait être un bon compromis.” Le choix de l’enseigne ne s’est pas fait au hasard : David a été salarié Norauto en 1991. Un choix en toute connaissance de cause donc : “C’est une société où il fait bon vivre. Norauto fait partie de ma vie. J’y ai commencé ma carrière et je compte bien l’y terminer. J’avais envie d’une nouvelle aventure et de rendre la pareille à la société en la faisant prospérer à mon échelle.”

Certains comme Sébastien Féret ont choisi la voie de la reconversion, comme beaucoup de nos franchisés. Chez Norauto, il ne faut pas forcément venir du secteur automobile pour réussir, par contre, il faut une véritable appétence avec celui-ci. Après un parcours militaire de 7 années en tant que capitaine, Sébastien Féret rejoint le centre Norauto de Mondeville pendant 3 ans (95 à 98). Cette expérience lui ouvre les portes du secteur automobile où il exerce les postes de responsable de développement et de directeur commercial en Afrique de l’Ouest. En avril 2017, il décline une proposition pour l’Asie et accepte le poste de directeur commercial Europe. “À l’aube de mes 50 ans, je voulais prendre un virage en construisant une vie professionnelle différente : je voulais être le patron de mes décisions et changer par moi-même le cours de choses”. Et il a choisi l’enseigne pour plusieurs raisons : “Norauto c’est le leader français et européen avec un savoir-faire reconnu par les clients et aussi par la profession. Autre chose importante: ils ont un coup d’avance, ce qui est une vraie force dans un marché aussi concurrentiel que celui de l’automobile. Pour moi c’est la meilleure enseigne dans le centre auto et de très loin.”

Une expérience de manager ? C’est un véritable atout en franchise

C’est évident : avoir été salarié chez Norauto est un atout considérable mais ce n’est pas une condition de réussite. David a exercé des fonctions de management en succursale quand il a travaillé en tant que que chef atelier, puis directeur adjoint. “Si on veut réussir, Norauto nous en donne les moyens et n’hésite pas à promouvoir ses salariés et à encourager tous ceux qui souhaitent passer le cap de la franchise.”

Pour autant, il n’est pas nécessaire d’avoir été manager chez Norauto pour devenir manager en franchise. Sébastien a également été manager dans un contexte différent de celui qu’il côtoie désormais au quotidien. “En tant que général manager chez Pirelli, je pratiquais un management horizontal d’une dizaine de personnes. Tout le monde partageait les mêmes manières de faire et de penser, il était alors beaucoup plus facile de faire accepter des décisions. J’ai dû repartir de zéro et apprendre d’autres facettes du métier de manager”.

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Une formation théorique et sur le terrain au management des équipes atelier et vente

Parce que leurs franchisés ont des parcours professionnels et des expériences managériales différentes, Norauto leur propose une formation gratuite : la Certification des Entrepreneurs. Elle prépare au métier de manager en centre auto, avec une partie terrain pour aborder concrètement ce que sera son futur métier pour le franchisé. Sur une semaine de temps, les futurs franchisés acquièrent de nouveaux savoirs en alternant théorie et pratique. David nous confie : “j’ai particulièrement apprécié les mises en situation sous forme de sketchs. Ils permettent de prendre confiance en nous et de savoir comment réagir le jour où la situation se présente dans la vie réelle.”

Un accompagnement de proximité pour devenir un professionnel du management en franchise

Les experts Norauto accompagnent les franchisés à l’ouverture de leur magasin pour former les équipes présentes ou aider à l’aménagement du magasin et de l’atelier. Mais la formation ne s’arrête pas là, bien au contraire. Les experts accompagnent les franchisés dans toutes leurs missions quotidiennes. Sébastien témoigne : “j’ai reçu un accompagnement exceptionnel de la part des experts Norauto. J’ai travaillé avec des gens très compétents, simples et passionnés par leur métier, qui s’investissent auprès des franchisés, leur accordant une totale disponibilité. Leur écoute permanente m’a permis de reprendre un centre auto dans les meilleures conditions.”

David complète : “Il y a toujours des gens au siège pour nous aider. Le mot “franchise” peut effrayer avec une idée reçue. Non, le franchisé n’est pas seul à piloter : il y a beaucoup de gens au siège Norauto qui soufflent dans les voiles pour pouvoir faire avancer le bateau.”

Des managers autonomes

L’accompagnement proposé par Norauto est personnalisé à chaque franchisé, qui le sollicite au besoin. Ainsi, David, franchisé créateur, s’est chargé seul de son recrutement : “En ayant exercé tous les postes en centre auto, j’avais une idée très précise des profils à rechercher. J’ai demandé aux Ressources Humaines qu’ils me créent une adresse mail et me transfère les mails des profils disponibles dans la région. J’en recevais 20 à 30 par jour. Le Pôle Emploi d’Albert m’a prêté une salle où je recevais en moyenne 15 candidats par jour. Gérer mon recrutement de la première à la dernière étape était un moyen infaillible pour ne pas passer à côté du candidat idéal”.

Sébastien a vécu une expérience totalement différente. En tant que repreneur, il a dû faire ses preuves auprès d’une équipe déjà en place. A son arrivée, il a planifié des entretiens de présentation pour répondre aux inquiétudes de ses nouveaux salariés. “En tant qu’être humain, notre devoir est de préparer le futur. Je me fais un devoir d’être à l’écoute de mes salariés, surtout dans un contexte de changement.”

Le management bienveillant : valeur phare des franchisés Norauto

David Darras prône le management participatif : “Je délègue beaucoup, on ne peut pas avancer tout seul. Nous sommes tous dans le même bateau. Alors je fais confiance à mon équipe. En retour, je suis très exigeant, j’attends beaucoup d’eux.”

Sébastien explique que cette aventure l’a fait complètement repenser sa manière de manager. “Avant, j’étais quelqu’un de directif. Mon passé de militaire, sans doute ! J’ai vite compris la différence entre “imposer” et “faire adhérer”. Je me suis remis en question en sortant de ma zone de confort. Je me suis adapté à mon équipe. Aujourd’hui, j’ai tout remis à zéro et pratique le management participatif avec pour maîtres-mots “dialogue” et “flexibilité”. Aujourd’hui, j’ai une équipe sereine, ça fonctionne. J’ai nommé des personnes de l’équipe qui ont pris du leadership : un bon manager ne peut pas tout gérer et ne doit pas avoir peur de déléguer. J’ai confiance en mon équipe, parce qu’au final, c’est elle qui m’a fait grandir.”

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Témoignages

Convention franchise Norauto 2019

21/06/201921/06/2019
par anthonyv1

Convention franchise Norauto 2019

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Ça bouge chez Norauto

RDV aux portes ouvertes de la franchise de Chamant…

07/05/201927/06/2019
par anthonyv1

Kamel MEDDOURI nous accueille dans son centre de Chamant (60) pour une nouvelle journée Découverte de la Franchise !

J’ai envie d’apporter ma pierre à l’édifice en aidant tous les futurs candidats à la franchise qui en auraient besoin.

Le jeudi 23 mai 2019, de 8h30 à 18h00, aura lieu une nouvelle portes ouvertes dans le centre auto de Chamant dans l’Oise (60), près de Senlis. Cette journée a pour but de faire découvrir la franchise Norauto au travers de différents temps : une visite commentée d’un centre auto avec nos experts, suivie d’échanges avec le franchisé et les autres partenaires du réseau (bancaire, assureurs, etc.) puis d’une plénière avec présentation du modèle économique… tout pour aiguiller les futurs candidats dans leur projet de franchise. Kamel MEDDOURI, le directeur du centre qui nous accueille a accepté de nous raconter son parcours de franchisé !

Kamel MEDDOURI, le directeur du centre Norauto de Chamant (60)

Quel était ton métier avant de devenir franchisé ?

Je viens de la restauration rapide, plus précisément de chez Pizza Hut, où je suis resté pendant 7 ans. J’ai commencé comme employé puis j’ai gravi les échelons pour devenir manageur / formateur. J’ai formé beaucoup de profils différents, notamment des personnes à des postes supérieurs, ce qui m’a donné l’ambition d’aller encore plus haut. Mais à l’époque, ce n’était pas possible : il n’y avait aucune perspective. Alors, j’ai décidé de quitter l’enseigne.

Je voulais quelque chose en plus et je l’ai trouvé en devenant entrepreneur avec Norauto.

Pourquoi avoir choisi la vie d’indépendant ?

C’est vraiment chez Pizza Hut que j’ai pris conscience de mon envie de devenir entrepreneur. Être freiné en pleine évolution m’a donné l’envie de faire les choses pour moi-même, de me lancer à mon compte pour exploiter le maximum de potentiel. J’ai d’abord choisi de devenir artisan Taxi. J’ai privilégié cette activité pour capitaliser un maximum dans l’objectif de pouvoir financer un projet qui me tenait vraiment à coeur. Je voulais “quelque chose en plus” et je l’ai trouvé en devenant entrepreneur avec Norauto.

Comment avez-vous vécu vos premières années en tant que franchisé ?

J’ai eu une belle évolution depuis ma première ouverture avec Norauto. La première année n’a pas été une année très facile : les complications que j’ai rencontrées étaient liées à l’équipe que j’avais recrutée au départ. J’ai mis un peu de temps à trouver une stabilité avec mes collaborateurs mais maintenant j’apprécie pleinement nos relations professionnelles et les résultats qui en découlent ! Depuis 2 ans, je suis très satisfait de mon choix et je vois clairement la différence.

Norauto a fait la différence pour moi car l’humain est une des valeurs dominantes.

Pourquoi avoir choisi Norauto ?

Je me suis intéressé à d’autres enseignes concurrentes avant de choisir Norauto. Je suis même allé très loin dans le processus de recrutement avec certaines d’entre elles. Mais Norauto a fait la différence : l’humain est une des valeurs dominantes et c’est ce qui a fait pencher la balance pour moi.

Je suis très content de mon partenariat avec Norauto et je ne compte pas m’arrêter là !

Quels sont tes objectifs en 2019 ?

Dès la création du premier centre, j’avais pour ambition de devenir multi-sites. C’est chose faite aujourd’hui, je viens d’acheter les murs de mon nouveau centre ! Je l’ai fait savoir aux équipes qui m’accompagnent au cas où elles seraient intéressées de saisir cette opportunité ! J’en suis très fier : c’est une belle évolution après seulement 3 ans d’ouverture. Je suis très content de mon partenariat avec Norauto et je ne compte pas m’arrêter là !

Pourquoi avoir accepté d’accueillir une journée découverte de la franchise ?

C’est toujours un plaisir pour moi de recevoir des gens, de partager mon expérience, de conseiller en fonction des doutes et des difficultés, que j’ai pu moi-même rencontrer. Quand j’étais candidat à la franchise, j’aurais aimé pouvoir solliciter un franchisé expérimenté, en plus des visites de centre auto et des réponses apportées grâce à l’accompagnement des équipes de Norauto Franchise. J’ai envie “d’apporter ma pierre à l’édifice” dans le projet des candidats. Je veux aider tous les futurs candidats à la franchise qui en auraient besoin.

Si on doit se lancer dans l’auto, c’est en franchise et avec norauto, il n’y a pas photo !

Avez-vous un message à faire passer aux futurs candidats à la franchise ?

S’ils veulent entreprendre avec une enseigne dans le monde de l’automobile, il faut le faire avec Norauto. J’en avais l’intuition avant de me lancer mais depuis que j’y suis, j’en suis encore plus convaincu ! Vous savez, j’ai des amis et de la famille qui travaillent aussi dans le secteur de l’automobile, mais chez la concurrence, et je vois très clairement la différence. Si on doit se lancer dans l’auto, c’est en franchise et avec norauto, il n’y a pas photo !

Témoignages

Découvrez nos experts de la franchise

13/12/201820/02/2023
par anthonyv1

Témoignage d’expert en franchise : Bruno Brachet, expert atelier chez Norauto Franchise

Entreprendre avec Norauto ? Pour moi, c’est une évidence, car notre équipe a vraiment à cœur de faire réussir les franchisés.

Bruno Brachet est expert atelier chez Norauto Franchise depuis 2012. Sa mission ? Accompagner les franchisés et leurs équipes pendant la période délicate qu’est l’ouverture d’un centre auto. Sa valeur ajoutée ? Avoir été franchisé, lui-même ! Découvrez son interview !

J’aime le sentiment d’être le pilote de ma propre vie.

Pourquoi avoir choisi la vie d’indépendant il y a quelques années ?

C’est venu très naturellement. Pendant 12 ans, j’ai travaillé comme mécanicien aux côtés de mon père. Alors, quand le moment est venu de reprendre l’affaire familiale, j’ai saisi l’opportunité. J’aimais le fait de ne pas avoir de compte à rendre, d’avoir le sentiment d’être le pilote de ma propre vie

Avez-vous toujours voulu entreprendre en franchise ?

J’ai connu les deux : j’ai été indépendant de 1994 à 1999 et franchisé de 1999 à 2006. La décision de passer à la franchise est venue, dans un premier temps, de l’évolution du marché que nous avions choisi : les constructeurs obligeaient leurs agents à se former et s’équiper d’outils de diagnostics. Face à cette concurrence montante, il était devenu primordial de se positionner sur une nouvelle offre différenciante. Et à l’époque, seuls Feu Vert et Maxauto, proposait un accompagnement en franchise. J’ai choisi Maxauto, qui avait une vision du métier similaire à la mienne, davantage orientée sur la proximité locale.

En devenant franchisé, j’ai gagné en disponibilité pour développer mon Chiffre d’Affaires et me centrer sur mes clients et mes équipes

Avez-vous trouvé des avantages à être franchisé ?

En tant qu’indépendant, on doit s’occuper de tout : du positionnement commercial, de la communication, travailler son réseau local, voire régional… avec la franchise, toute cette partie est gérée par l’enseigne elle-même. En devenant franchisé, j’ai gagné en disponibilité auprès de mes clients et de mes équipes. J’ai également pu consacrer plus de temps au développement de mon Chiffre d’Affaires.

Comment êtes-vous devenu expert atelier chez Norauto Franchise ?

J’ai vendu mon entreprise en 2006 car la ville voulait implanter une nouvelle zone commerciale, dotée de son propre centre auto. Pour faire face à cette nouvelle concurrence, j’ai voulu investir mais je n’ai jamais obtenu les permis de construire… J’en ai profité pour me recentrer sur ma vie personnelle et j’ai eu un deuxième enfant. Puis, j’ai eu envie de reprendre une activité professionnelle. J’ai appelé mes anciens contacts Maxauto et ils m’ont proposé de les aider au merchandising. J’ai alors participé à l’implantation de nombreux centres, Maxauto au début puis Norauto (Ndlr : Maxauto a intégré le groupe Norauto en 2004). Ma mission était d’aménager les magasins : montage de gondoles, étiquetage de produits, mise en place de PLV (Ndlr: Publicité sur Point de Vente). 6 ans plus tard, je suis revenu à mes premières amours et je suis passé expert atelier chez Norauto Franchise.

J’ai une profonde admiration pour les franchisés. Ce sont des gens très courageux, porteurs d’un idéal.

Parlez-nous de votre métier d’expert atelier aujourd’hui

J’accompagne chaque franchisé 8 jours avant et 8 jours au moment de l’ouverture, notamment sur la formation des équipes, via un diagnostic des compétences, et aussi pour finaliser l’aménagement de l’atelier. J’apporte mon expertise sur toute la partie technique de l’atelier : mise en place de l’outillage, organisation du travail, ergonomie… Et la semaine de l’ouverture, je les aide à accueillir leurs premiers clients.

Les franchisés doivent être dotés de qualités indispensables bien avant leur formation et leur expérience.

Recommanderiez-vous de passer franchisé Norauto ?

J’ai une profonde admiration pour les franchisés. Ce sont des gens très courageux, porteurs d’un idéal. Je m’engage à les accompagner du mieux possible, car c’est ce que j’ai reçu du réseau en tant que franchisé. Je me dois de répondre à leurs difficultés le plus rapidement et le plus efficacement possible. En tant qu’ancien franchisé et ancien entrepreneur, j’ai une vision large du métier de directeur de franchise et nous échangeons souvent, jusqu’à la sphère personnelle, qui est toujours impactée par ce type d’aventure. Entreprendre avec Norauto ? Pour moi, c’est une évidence, car notre équipe a vraiment à coeur de faire réussir les franchisés.

Quelles sont les qualités indispensables pour réussir en tant que franchisé ?

Bien avant leur formation et leur expérience, les franchisés doivent être dotés de qualités comme : aimer les gens, être commerçant et pugnaces. Il ne faut pas redouter les difficultés, et si on y arrive, on gagne quelque chose pour soi, on vit de son travail et on apprécie pleinement de s’épanouir ensemble sur un même projet.