Présentation de nos trois nouveaux repreneurs entrepreneurs !
Qui sont les 3 nouveaux repreneurs de franchise Norauto ?
Il y a plusieurs manière d’entreprendre en franchise : l’aventure de la franchise ne débute pas nécessairement par la construction d’un centre auto !
Certains de nos franchisés ont choisi de saisir les opportunités de reprise.
On vous fait les présentations avec les 3 derniers repreneurs franchisés qui ont rejoint la famille Norauto en avril 2019 et on vous dit tout : leurs parcours, leur personnalité et leurs rêves professionnels !
Laurent Caesemacker, reprise du centre de Seysse (Haute Garonne – Occitanie)
Laurent habite à Fonsorbes (31). Il est marié et a deux filles. Il est passionné de voile et surtout de bricolage en tous genres. Il va même jusqu’à réparer sa propre voiture ! Sa technique, son expérience et sa formation d’ingénieur en faisait le candidat idéal à la franchise !
Pourquoi devenir entrepreneur en franchise ?
Après des études d’ingénieur agronome, il exerce les postes d’ingénieur de recherche, de responsable de production, puis de directeur de site, où il apprend à redresser un site industriel. En 2010, quand son épouse est mutée à Toulouse, il décide alors de quitter son entreprise pour gagner en autonomie. Il ouvre une franchise, en 2013, pour une enseigne de bricolage, où il manage encore à ce jour 8 collaborateurs.
Pourquoi avoir repris un centre Norauto ?
Laurent aime se challenger ! A 50 ans, il avait besoin d’un nouveau projet. Quand nous avons fait sa connaissance, il hésitait à ouvrir une seconde enseigne de bricolage ou expérimenter un nouveau secteur d’activité. « Avec ma formation d’ingénieur, j’aime tout ce qui a attrait à la technique et je suis bricoleur dans l’âme. La reprise de ce centre auto était une opportunité d’étendre mon activité de franchisé sur un autre marché. » Le nom de Norauto lui est rapidement venu à l’esprit notamment pour la notoriété de l’enseigne.
Saïd Bahor reprise du centre de Feurs (Loire – Auvergne Rhône Alpes)
A 48 ans, Saïd Bahor habite Clermont Ferrand (63). Il est marié et a un enfant de 20 ans.
Pourquoi devenir entrepreneur en franchise ?
En 1995, Saïd est embauché comme responsable secteur « passion » (jantes, autoradios…) dans un centre auto. De réceptionnaire atelier, il évolue vers le poste de responsable de magasin puis de responsable de centre. En 2017, il rejoint sa famille sur Clermont Ferrand. Autonome dans l’âme, c’est tout naturellement qu’il se tourne vers un projet de franchise. « Après plus de 20 ans en tant que salarié, j’avais besoin d’un nouveau challenge dans ma carrière professionnelle ».
Pourquoi avoir repris un centre Norauto ?
Saïd sait ce qu’il veut : un projet de reprise de centre Norauto. « Dès les premiers entretiens, j’ai identifié chez Norauto ce côté familial que je n’ai pas retrouvé chez les autres franchiseurs concurrents. » On comprend alors aisément pourquoi il souhaiterait que son épouse prenne part à l’aventure dans un avenir proche.
Comment s’est passée l’ouverture début avril ?
« C’était la course heureusement, j’étais épaulé à l’ouverture du centre par un expert métier Michel Baral qui est resté pendant 15 jours. Il a l’oeil et avec son expérience il a su nous montrer des choses à améliorer en magasin. »
Sébastien Féret reprise du centre de Saint Jory (Haute Garonne – Occitanie)
Sébastien a 49 ans. Marié, père de 2 enfants de 23 et 13 ans, il nous vient du Portugal (Estoril). C’est un vrai globe-trotteur ! « A l’aube de mes 50 ans, je voulais prendre un virage en construisant une vie professionnelle différente : je voulais être le patron de mes décisions et changer par moi-même le cours de choses. »
Pourquoi devenir entrepreneur en franchise ?
Après un parcours militaire de 7 années en tant que capitaine, il rejoint le centre Norauto de Mondeville pendant 3 ans (95 à 98). Cette expérience lui ouvre les portes du secteur automobile où il exerce les postes de responsable de développement et directeur commercial en l’Afrique de l’Ouest. En avril 2017, il décline une proposition pour l’Asie et accepte le poste de directeur commercial Europe.
Pourquoi avoir repris un centre Norauto ?
« Norauto c’est le leader français et européen avec un savoir-faire reconnu par les clients et aussi par la profession. Autre chose : ils ont un coup d’avance, ce qui est une vraie force dans un marché aussi concurrentiel qu’est celui de l’automobile. Je suis le premier ambassadeur de Norauto à l’extérieur ! Pour moi c’est la meilleure enseigne dans le centre auto et de très loin. Les franchisés sont accompagnés par des gens simples qui n’ont pas la grosse tête malgré leur haut niveau de compétence. »
Que pensez-vous de l’accompagnement Norauto avant l’ouverture de votre centre ?
« J’ai reçu un accompagnement exceptionnel de la part des experts norauto car j’étais un peu perdu au départ même avec un peu d’expérience. J’ai travaillé avec des gens très incroyablement compétents, simples et passionnés par leur métier, qui s’investissent auprès des franchisés, leur accordant une totale disponibilité et bien plus encore. Leur écoute permanente m’a permis de reprendre dans les meilleures conditions un centre auto qui n’était pas au meilleur de sa forme. »
Alors, quelles seraient selon eux les qualités indispensables pour réussir en tant que repreneur ?
Saïd nous explique qu’il faut être polyvalent : « il faut être commerçant, bon gestionnaire et manageur. Il faut aussi aimer l’automobile car la spécificité du secteur c’est “l’achat obligation” et non l’achat plaisir. Les gens viennent par nécessité. Le métier évolue également : il s’oriente davantage vers le service au client avec la réparation automobile. Car au final les prix sont les mêmes. Ce qui fait la différence, c’est la qualité de service, d’être réellement empathique envers le client, en s’adaptant à lui et à ses attentes, en se montrant compréhensif et rassurant. » Sébastien rajoute qu’il faut « aimer le gens, les salariés comme les clients, car c’est un métier résolument tourné vers l’humain. » Laurent précise : « Avoir la fibre technique peut vite se révéler comme un atout car si on est juste sur une dimension entreprise on passe peut-être à côté de quelque chose. Le recrutement du personnel est une difficulté à surmonter également, mais si on sait bien la diriger ses équipes ça roule ! »