Comment distinguer les franchises automobiles entre elles ?

C’est décidé ! Vous vous lancez dans la franchise automobile ! Et vous faites le bon choix ! Un entrepreneur non franchisé part de zéro : il doit développer son concept, son produit, sa marque… Dès le départ, le franchisé profite de la notoriété d’une enseigne (souvent nationale), déjà performante.

Et selon Les Echos de La Franchise, le secteur automobile a le vent en poupe : 5925 entreprises créées en 2016. Ce sont généralement de petites structures avec maximum 10 salariés qui réalisent à elles-seules plus de 70% du chiffre d’affaires, en hausse quasi continue depuis ces 20 dernières années. Les opportunités sont nombreuses. Chaque année, de plus en plus d’enseignes recrutent des franchisés pour reprendre des centres existants ou pour en créer de nouveaux. Le tout est encore de savoir vers quelle enseigne automobile vous allez vous tourner ? Pas toujours évident de différencier les franchises entre elles… Nous pouvons vous y aider : en vous expliquant les principales différences de Norauto par rapport aux autres franchises automobiles.

L’expérience client comme 1ère préoccupation

Norauto est un concept de franchise automobile qui propose, en plus de ses prestations de réparation en atelier, des produits en libre-service à ses clients accessibles depuis un magasin dédié. En leader européen, Norauto se positionne comme une franchise automobile solide, avec un concept qui fait ses preuves depuis 47 ans.

De grandes surfaces de vente

Les centres Norauto sont situés dans des zones commerciales de forte affluence. Il était alors indispensable de se doter de surfaces de vente pouvant accueillir convenablement les clients. Ainsi, la taille des surfaces de vente des centres Norauto varient entre 300 et 600 m² avec : des espaces d’attente conviviaux, des d’outils digitaux

• de gardiennage de pneu pour les plus grands centres auto
• etc.

Et l’expérience ne se termine pas à la porte du centre Norauto : les clients peuvent utiliser les nouvelles applications mobiles de voiture connectée, d’atelier mobile, etc.

Choisir Norauto Franchise, c’est bénéficier d’une publicité au niveau national : de la communication digitale au marketing en magasin avec une volonté affirmée d’une expérience client la plus satisfaisante possible.

Israël De Brito, directeur de Péronne (80) explique pourquoi il a choisi Norauto  : « En plus de ce concept commercial qui existe depuis plus de 40 ans et qui a fait ses preuves, j’ai trouvé tout un service client. L’autre raison c’est le dynamisme que je rencontre chez Norauto en termes d’innovation. Ils sont en permanence à la recherche d’innovation pour assurer la qualité de service auprès de leurs clients« .

Des ateliers à la pointe de l’innovation

Les clients de Norauto ont le choix entre des formules ou des interventions à la carte.
Ainsi, 7000 véhicules sont confiés chaque jour aux ateliers Norauto.

Ce sont plus de 140 prestations en multimarques que nous proposons en ateliers :

• des diagnostics
• des entretiens
• des réparations

En atelier aussi, l’expérience client est privilégiée avec par exemple :

• l’entretien mensualisé,
• la garantie montage pneu en une heure,
• les plaquettes de frein gratuites à vie,
• l’assistance dépannage,
• la garantie crevaison,
• etc.

Et pour répondre à toutes les demandes de ses clients, Norauto développe des partenariats avec d’autres enseignes comme Carglass.

De l’animation en magasin

Certains magasins proposent des stages automalins. Ce sont des ateliers gratuits. En 1h30, un expert dispense des conseils pour mieux entretenir son véhicule : comment vérifier ses niveaux d’huile ? Quelles sont les pièces à surveiller ? Quand dois-je changer mes pneumatiques ?

Une large gamme de produits

Norauto dispose de la plus large gamme de produits du marché, composée de marques reconnues et de la marque Norauto elle-même.

• Plus de 6000 références en centre auto (pièces détachées, accessoires)
• Pas moins de 60 000 références sur notre site marchand www.norauto.fr

Pour Norauto, la sécurité ne doit pas être une question de budget. C’est pourquoi tous nos fournisseurs ont signé une charte éthique qui répond à nos toutes nos exigences en matières de qualité, de sécurité et de prix. Ainsi, tous les produits de la marque Norauto sont inspirés de notre expérience et des retours de nos clients et se reconnaissent par leur innovation et leur bon rapport qualité/prix, sans compromis sur la sécurité.

Un actionnariat familial

Chez Norauto, l’actionnariat est depuis toujours familial. L’entreprise appartient à la famille Derville, le fondateur, depuis 47 ans ! L’objectif d’un actionnariat familial est bien pérennisation de l’enseigne aux profit des générations suivantes.

Norauto peut être fier d’avoir conservé cette valeur forte depuis la création de l’enseigne en 1970 par Eric Derville : “Notre Groupe a toutes ses chances parce qu’il a des valeurs fortes. En tant que fondateur et actionnaire, je vois deux points clefs pour l’avenir. En premier lieu, il s’agit […] de donner un travail au plus grand nombre et un travail de qualité. En second lieu, il paraît essentiel que nos créations, nos innovations et nos activités soient réalisées dans un profond respect de la planète. Agir pour ne pas subir, être acteur de son propre avenir est la clef essentielle. Quand on construit l’avenir, on élimine la peur, on suscite l’enthousiasme.”

Source 1 : https://www.lesechosdelafranchise.com/franchises-entretiens-reparations/l-entretien-automobile-les-chiffres-du-secteur-52271.php

Reconversion d’ingénieur : avez-vous pensé à la franchise ?

De plus en plus d’ingénieurs envisagent une reconversion professionnelle. Malgré les nombreuses années d’étude, le métier idéal n’est pas toujours au rendez-vous. C’est le cas de Camille, 30 ans, consultante en informatique depuis 7 ans et diplômée d’une école d’ingénieur qui témoigne dans le journal Les Echos Start “Je suis insatisfaite de mon travail […] Je suis dépendante des choix de mes clients et, la plupart du temps, ils prennent des décisions avec lesquelles je ne suis pas d’accord. Je me demande pourquoi je fais tout ça. Retrouver du concret me tient beaucoup à cœur. » Souvent, on ne sait plus très bien quelles raisons nous ont poussé à choisir cette voie. On nous demande très jeune de choisir notre orientation, souvent au lycée, alors que nos personnalités sont à peine construites pour prendre la mesure d’une décision qui impactera toute notre vie. Et quelques fois, la décision n’était pas (ou n’est plus) la bonne… Quand la déception est au rendez-vous, la reconversion professionnelle, même quand on est ingénieur, est-elle une option envisageable ?

La reconversion professionnelle quand on est ingénieur ?

La reconversion est une réorientation de carrière : ce peut être un changement de métier, de secteur d’activité mais aussi de statut !

Vous avez un sentiment d’indépendance inassouvi ? Vous savez depuis toujours que vous avez l’âme d’un chef d’entreprise ? Vous avez le droit à un seconde chance, il suffit de vous l’accorder ! Pourquoi ne pas sauter le pas et vous mettre à votre compte comme d’autres ingénieurs reconvertis l’ont fait avant vous ?

Grâce au statut auto-entrepreneur, le métier d’indépendant est de plus en plus accessible ! La France comptait 2,2 millions d’indépendants en 2000. Aujourd’hui, ce sont pas moins 2,8 millions de personnes qui ont choisi le métier d’indépendant ! Et les chiffres ne sont pas près de diminuer avec la nouvelle mesure d’Emmanuel Macron qui a doublé les plafonds des micro-entreprises au 1er janvier 2018 !

Vous voulez vous lancer mais vous avez peur de ne pas être à la hauteur… Des formations existent : CIF, CPF, VAE, plans de formations… le choix est large ! Vous pouvez en bénéficier, il suffit de prendre le temps pour vous informer.

Devenir votre propre patron, d’accord mais en minimisant les risques. Alors pourquoi ne pas envisager votre reconversion d’ingénieur en franchisé ? Selon la FFF (Fédération Française de la Franchise), le taux de réussite en franchise serait de 80% !

Un ancien ingénieur qui a choisi la franchise pour sa reconversion

Pascal Benoish, ancien directeur technique dans l’imagerie médicale de formation ingénieure, a ouvert son centre Norauto à Cavignac (33) près de Bordeaux en juillet 2017. Après 6 ans dans le secteur de l’imagerie médicale, il a ressenti un fort besoin d’indépendance et la volonté d’accomplir quelque chose par lui-même.

“J’ai eu envie de changer de mode de vie avec une réelle volonté d’entreprendre. C’est vrai que j’aime changer de métier tous les 10 ans ! Avec ma conjointe, on avait vraiment envie de manager une équipe et de travailler de façon autonome, sans supérieur hiérarchique”, témoigne Pascal.

Ce fut l’occasion d’entreprendre à deux : il s’est alors associé à sa conjointe Brigitte, qui a travaillé pendant des années dans les ressources humaines. Aujourd’hui, ils sont les patrons et manageurs d’une équipe de 7 collaborateurs.

Pascal poursuit : “On a choisi la franchise Norauto car pour nous c’est une entreprise qui tient la route ! De plus, je connaissais déjà le domaine de l’automobile, puisque je faisais moi-même certaines réparations sur mes voitures.”

Pour réussir leur reconversion professionnelle, Pascal et Brigitte ont été accompagnés par l’équipe de Norauto Franchise, et cela dès leur recrutement. En effet, ils n’avaient aucune expérience en tant qu’entrepreneurs. Ils ont alors apprécié de bénéficier du soutien et de l’expérience d’une enseigne de renom.

Brigitte explique “Le process de recrutement Norauto est vraiment bien pensé. Nous avons pu poser toutes nos questions sans filtre et Norauto ne nous a rien caché. Nous avons aussi rencontré des franchisés qui nous ont conseillé. Il y a énormément de bienveillance entre les franchisés Norauto, une sorte de seconde famille !

Norauto leur a aussi proposé les formations qui leur manquaient pour combler leurs lacunes en matières de compétences. Et pour les identifier, ils ont notamment participé à la semaine des dirigeants.

“Nous avons bénéficié de 3 mois de formation en succursale. Et ce n’était pas de trop ! Même si nous étions impatients de commencer !”

Et quand on demande à Pascal en quoi son métier d’ingénieur l’a aidé, il répond que : “les connaissances technique, en management, en relation client représentent un réel plus !”

La semaine des dirigeants : une formation adaptée aux profils ingénieurs

La semaine des dirigeants est une formation montée de toute pièce par Norauto Franchise. Elle est spécifiquement adaptée à tous les profils non-entrepreneurs, comme les ingénieurs qui n’auraient connu que le salariat. La semaine des dirigeants est une vraie formation en présentiel avec :

• une animation par un formateur
• la projection d’une présentation
• des travaux pratiques en petits groupes
• des mises en situation, etc.

Cette formation dure une semaine de temps car beaucoup de thématiques y sont abordées : la gestion d’entreprise (avec présentation des outils de gestion), le droit du commerce, l’explication des filières de recyclage, le recrutement et bien d’autres encore.

Et quand on est chef d’entreprise, il y a une compétence sur laquelle on ne peut faire l’impasse : le management. Cela tombe bien : la semaine des dirigeants y consacre justement une journée et demie ! Ancien ingénieur, vous y apprendrez à développer un management bienveillant mais exigeant, facteur indispensable au bon développement de votre futur centre automobile.

En tant qu’ingénieur, vous avez déjà eu l’occasion de manager des équipes dans votre parcours professionnel ? La formation vous servira alors à prendre du recul sur votre management actuel et vous proposera de l’adapter au besoin !

 

Intéressés ? Pourquoi ne pas nous demandez plus d’informations ?

 

Source 1 : Le Figraro (//www.lefigaro.fr/emploi/2017/02/28/09005-20170228ARTFIG00127-ce-que-gagnent-les-travailleurs-independants-en-2017.php)

Comment devenir manageur de franchise ?

Entreprendre en franchise ? Cela vous a effleuré l’esprit, mais vous hésitez encore à vous lancer… Laissez-nous vous conter le métier de manageur de franchise.

Le manageur de franchise : un homme de terrain

Forcément, un manageur hors pair…

Le manageur de franchise chez Norauto est manageur de proximité. Sa motivation principale ? Conduire ses équipes vers une réussite commune, tant au niveau des ventes que de l’épanouissement au travail en veillant à cultiver un bon climat social.

Le manageur de franchise a pour rôle de manager deux types d’équipes : ses vendeurs et ses mécaniciens. De ce fait, il travaille en étroite collaboration avec son chef d’atelier, lui même manageur d’une équipe de mécaniciens. Pour mener à bien cette mission, il échange régulièrement avec lui sur des sujets tels que la planification des prestations, la tenue de l’équipe et les performances des mécaniciens.

… qui a d’autres cordes à son arc !

Chez Norauto, être manageur de franchise c’est aussi être un chef d’entreprise. Ainsi, le manageur de franchise Norauto a aussi pour mission de développer son Chiffre d’Affaires. Et concernant la liberté d’entreprendre ? Chez Norauto, les manageur de franchise définissent eux-mêmes les axes stratégiques du développement de leur centre auto.

C’est aussi un très bon commerçant qui apprécie répondre aux attentes et nombreuses questions de ses clients. Et pour générer du Chiffre d’Affaires, il n’y a pas de secret : il faut savoir doper ses ventes en gérant habilement toute la dynamique commerciale de son centre auto. Les franchisés Norauto ont notamment pour objectif de rendre leur surface de vente la plus attrayante possible Comment ? Par exemple en mettant avant les nouvelles promotions ou en gérant au mieux leurs stocks pour avoir toujours des rayons bien remplis.

Israël De Brito, manageur de franchise à Péronne (80) explique l’importance de disposer de ces qualités : “Il faut qu’il soit un excellent commerçant, un très bon gestionnaire et un très bon manager parce que gérer un centre Norauto c’est un travail d’équipe, c’est donc une qualité forte qu’il faut avoir”.

Et de l’aide à revendre !

Chez Norauto, un animateur de réseau de franchise (appelé aussi “directeur de secteur”) rend visite au manageur de franchise au minimum une fois tous les deux mois pour l’assister (au besoin) dans toutes les missions qui lui sont confiées : piloter un Chiffre d’Affaire, gérer au mieux ses stocks, recruter, etc. Et celui-ci le contacte quotidiennement au téléphone pour s’assurer que le franchisé n’a besoin de rien.

“On a un directeur de secteur dédié pour nous accompagner. “ explique Israël De Brito. “Il nous rend visite une fois par mois et on analyse les chiffres pour savoir comment il peut nous aider aussi bien sur le façing qu’en atelier. Si on a un problème, il répond à toutes nos questions. Norauto est très réactif si on a un souci, on appelle au siège, le problème sera résolu dans la journée. On arrive, on est nouveau, forcément on sait pas tout faire”.

S’il le souhaite (il n’y a aucune obligation bien que cela soit fortement conseillé), le manageur de franchise peuvent solliciter nos partenaires : des experts comptables, des conseillers juridiques, des banquiers, des assureurs, etc.

Pour toujours être en lien avec les franchisés, et en particulier lui partager les dernières bonnes pratiques découvertes par les autres membres du réseau, d’autres événements sont également organisés, comme :

• une réunion régionale tous les trimestres
• des commissions trois fois par an : bien plus que de simples chantiers de réflexion, il s’agit bien de vraies pistes de travail organisées autour de trois grands axes que sont la publicité, l’activité commerciale (produit, business) et les ressources humaines.
• une convention tous les ans, où toutes les équipes de Norauto Franchise, les partenaires et les franchisés se réunissent pour découvrir les résultats de l’année précédente, découvrir les dernières innovations de l’enseigne et surtout se rencontrer dans une ambiance studieuse mais conviviale.

Le manager de franchise dispose aussi d’outils de pilotages informatisés (notamment une centrale d’achat très puissante !), d’un service de R&D (recherche et développement de produits innovants) ainsi qu’un dispositif bien rôdé de communication à échelle nationale !

Michel Rosak, directeur de franchise de Varennes-sur-Seine, résume bien ce qu’est être franchisé chez Norauto : “Ce qu’apporte Norauto aux franchisés c’est d’abord la force de cette enseigne extrêmement forte. C’est d’avoir un appui permanent sur les actions mises en place tous les mois. C’est de bénéficier de prix d’achat, c’est de bénéficier d’une structure logistique qui nous permet d’être livré toutes les semaines. Et puis c’est également de bénéficier d’un appui humain qui est extrêmement important sur la réflexion et l’organisation de nos entreprises au quotidien.”

Comment devient-on manageur de franchise Norauto ?

Norauto Franchise a mis en place tout un dispositif de recrutement. L’objectif ? Sécuriser dès le départ le projet de franchise. Chaque étape est par conséquent nécessaire pour challenger le futur manageur de franchise !

2ème étape : évaluation du profil du candidat

Un entretien de motivation permet au candidat de faire le point sur son projet, mais aussi sur ses compétences, celles qu’il a acquises et celles qui seront développées au cours de l’aventure Norauto.

L’entretien est suivi d’un stage de 4 jours en immersion dans un centre Norauto, où, en tant que candidat, vous pourrez découvrir la réalité de son futur métier de manager. Pour Norauto, c’est aussi l’occasion de tester votre savoir-être. Comment le candidat se comporte-t-il envers les clients, envers ses collaborateurs ? Est-il motivé par le travail sur le terrain, même lors de tâches rébarbatives ?

Ces 4 jours en immersion sont suivis d’un entretien avec un directeur de secteur, qui fera le point avec vous sur vos affinités avec le métier, sur la manière dont vous vous projetez en tant que franchisé. Un rapport d’étonnement vous sera notamment demandé : il vous servira à exprimer vos doutes, vos motivations et vos convictions suite à votre expérience sur le terrain..

3ème étape : constitution du dossier de franchise et validation de la candidature

Pour que votre projet se poursuive, votre candidature doit nécessairement être validée ! Tous les avis suite aux différents entretiens sont récupérés et le rapport d’étonnement analysé. Tous ses éléments sont constitutifs de votre dossier de candidature. Votre dossier finalement constitué, il sera présenté en comité de validation.

Ce n’est qu’une fois votre candidature validée que vous serez mis en contact avec le service expansion : un responsable de développement vous aidera à construire votre dossier. Il recherchera avec vous le site d’implantation qui vous correspondra le mieux. Il gérera également pour vous les démarches administratives.

4ème étape : formation du candidat

Votre projet validé ? Alors vous allez vivre environ 3 mois de formation dans un centre auto, pour vous former sur tous les aspects pratiques du métier de manageur de franchise auto.

En parallèle, les équipes de Norauto Franchise et leur réseau de partenaires vous aideront à la préparation de votre centre auto : travaux, recrutement, merchandising, atelier… tout sera mis en place pour que vous soyez fin prêt le jour J : à l’ouverture de votre centre auto !

Démontez vos fausses idées sur la franchise !

Vous pensez connaître le concept de franchise ? Détrompez-vous, vous vous faites de fausses idées, qui pourraient vous faire passer à côté d’opportunités de carrières que vous n’auriez même pas envisagées… Petit tour d’horizon des principales idées reçues sur la franchise, pour enfin rétablir la vérité !

Idée reçue n°1 : “Avec la franchise, on n’a aucune liberté.”

Dans l’esprit de beaucoup de gens, la franchise est synonyme d’absence de liberté. On bénéficie de toute l’aura de la marque, mais en contrepartie, on renonce à son autonomie dans la gestion quotidienne de son activité.

Attention : il ne faut pas confondre le métier de franchisé et le métier de directeur d’enseigne salarié ! Le franchisé gère de manière autonome son commerce ou son entreprise de services. La différence avec un chef d’entreprise classique est que le franchisé exploite une marque en contrepartie de droits d’entrée et de royalties. Le directeur d’enseigne salarié, quant à lui, est rémunéré par une entreprise pour réaliser une mission. Ce dernier a par conséquent une marge de manoeuvre plus limitée, étant donné qu’il doit rendre des comptes à sa direction. Le rapport hiérarchique induit une marge de manoeuvre plus limitée que pour le franchisé.

Etre franchisé ne signifie pas “être bridé”, mais la conception de liberté varie fortement d’une franchise à l’autre et d’un secteur d’activité à l’autre. Il est fortement conseillé de se rapprocher des franchisés du réseau de franchise : ils seront les plus à même de vous parler de leur marge de manoeuvre en tant qu’entrepreneur.

Chez Norauto, par exemple, nous ne faisons qu’apporter les règles de notre succès. Notre expérience, riche de plusieurs années, nous permet une maîtrise parfaite de notre secteur d’activité : c’est davantage une garantie de réussite. Vous bénéficiez de la notoriété de l’enseigne et de ses politiques commerciales à échelle nationale, mais vous gérez votre centre auto au quotidien en toute autonomie. Idem pour le choix de vos partenaires et de vos salariés, libre à vous de les choisir sans notre aide !

Bien entendu, la franchise est un contrat qui exige une contrepartie de votre part : par exemple en intégrant le réseau, vous adhérez à un concept, une politique commerciale et promotionnelle…

Idée reçue n°2 : “Il faut être spécialiste du secteur pour réussir”.

Beaucoup d’entrepreneurs pensent qu’il est préférable d’ouvrir une franchise dans un secteur que l’on maîtrise, ou à défaut que l’on connaisse. On pourrait croire par exemple, que pour ouvrir un fast-food, il faut nécessairement une expérience dans la restauration.

Chaque franchiseur dicte ses propres règles de sélection, mais la plupart du temps, la connaissance du secteur d’activité n’est pas un pré-requis, mais plutôt un “bonus”. Les franchiseurs recherchent principalement des profils de manager ou de gestionnaire. Bien entendu, il est nécessaire d’avoir une certaine affinité avec le secteur de prédilection mais aucune expérience professionnelle ne sera exigée. Ainsi, si vous êtes passionné de cuisine au quotidien, vous pourrez tout à fait prétendre à devenir un franchisé du secteur de la restauration.

Chez Norauto notamment, il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances techniques en automobile pour présenter une candidature solide à la franchise. Nous recherchons avant tout des profils aux compétences managériales et gestionnaires, avec expérience à l’appui. (Aucun diplôme n’est exigé !) Bien entendu, il faut aimer l’automobile, mais sans forcément être passionné !

Idée reçue n°3 : “La franchise n’est pas une propriété”.

Comme n’importe quel chef d’entreprise, le franchisé a investi de l’argent pour acheter (ou louer) son lieu de vente, pour se constituer un stock de produits et pour mettre sur pied une campagne de communication à l’ouverture.

La seule différence entre un indépendant classique et un franchisé est que le franchisé bénéficie du soutien de la marque : il gagne de précieuses années d’expériences en ne partant pas de zéro. Il profite de la notoriété de la marque et des outils développés en interne pour la gestion de son activité au quotidien.

Un franchisé Norauto peut ainsi compter sur une communication au niveau national (telle que la publicité télévisée, impossible à financer pour une PME), sur des outils de gestion performants (comme la centrale d’achat Norauto) ainsi que d’un service de R&D (Recherche et Développement) qui lui permet de mettre rapidement dans ses rayons des produits innovants, avec davantage de chances de devancer la concurrence.

Pour exploiter son commerce sous enseigne, le franchisé a payé des droits d’entrée et verse des royalties en compensation du soutien de la marque. C’est un vrai chef d’entreprise, qui développe son patrimoine et qui pourra donc, à l’instar d’une entreprise classique,  le moment venu, soit en la vendre, soit la transmettre à ses enfants.

Idée reçue n°4 : “Les franchisés paient pour utiliser la marque mais sont livrés à eux-mêmes”.

2 préjugés ont la vie dure dans la franchise : “Le contrat de franchise limite ma liberté d’entrepreneur, et je dois en plus payer le prix fort en redevances.”

Soyez bien vigilant quand vous consultez un franchiseur. Assurez-vous que le service rendu par le franchiseur ne se limite pas à l’utilisation de la notoriété de sa marque. De nombreux franchiseurs n’hésitent pas à proposer des prestations d’accompagnement comme par exemple des formations et des outils informatiques pour aider leurs franchisés dans la gestion quotidienne de leur activité.

Chez Norauto, nous accompagnons nos franchisés au démarrage de leur projet, aidés de notre réseau de professionnels (études de marché, business plan, création de société, expertise comptable, assurance, maîtrise d’oeuvre, etc.) Nos futurs franchisés suivent une formation théorique générale de plusieurs jours (management, atelier et RSE, ressources humaines, finance, commercial, logistique, marketing) puis une formation sur le terrain. Une fois le centre auto ouvert, la formation continue : un directeur de secteur Norauto visite nos franchisés tous les deux mois pour les aider à améliorer leur gestion quotidienne et ainsi veiller à la réussite de leur commerce franchisé !

Maintenant que vous connaissez toute la vérité sur la franchise, pourquoi ne pas faire le premier pas ?

Comment faire (et réussir) sa carrière ?

Rien ne doit freiner l’ascension pour faire carrière. De plus en plus d’entreprises l’ont bien compris et apportent des solutions concrètes à leurs salariés : conciliation vie professionnelle et vie privée, gestion de situations de handicaps, ascension professionnelle sans diplôme… chaque collaborateur est unique et les entreprises rivalisent d’idées pour accompagner chaque salarié sur le chemin de la réussite professionnelle.

Faire carrière en conciliant vie professionnelle et vie privée ?

Les entreprises françaises, inspirés des modèles scandinaves, prennent petit à petit conscience de la nécessité d’aménager les temps de travail en fonction des situations personnelles de chacun afin de gagner en productivité. Par exemple, de plus en plus d’hommes peuvent quitter le travail plus tôt, comme le font déjà les femmes, pour aller chercher les enfants à l’école. Tous les salariés peuvent faire une demande de dérogation à la règle de l’horaire collectif à leur employeur pour pouvoir bénéficier d’horaires aménagés. Ce dispositif est accordé de fait à tous les salariés en situation de handicap ou leurs aidants.

Une autre option est envisageable pour concilier vie privée et vie professionnelle : travailler en famille et en franchise. C’est le cas de beaucoup de franchisés Norauto qui ont décidé d’en faire une aventure entrepreneuriale familiale ! Eric et Katia Bidet, 51 ans et 42 ans, franchisés Norauto à Ferrières d’Aunis (17) témoignent de leur choix de travailler avec Norauto : “Nous voulions mener nos vies, et entreprendre ensemble.  […] La franchise s’est rapidement imposée par son côté rassurant et sécurisant. Après avoir dressé une short-list des secteurs qui nous plaisaient, nous avons, d’un commun accord, opté pour le secteur automobile et Norauto. Le fait d’être en couple a joué en notre faveur, car à terme nous souhaitons ouvrir plusieurs centres. Ce genre d’opérations est plus facile quand on est deux. Notre centre a ouvert ses portes en février 2016, dans une petite zone commerciale à la sortie de Ferrières d’Aunis, qui accueille une vingtaine de commerçants.”

Faire carrière sans diplômes ?

Le diplôme est souvent le critère sinequanone de bon nombre de recrutement pour justifier un niveau de compétence. Mais qu’en est-il des personnalités autodidactes qui souhaiteraient obtenir des postes à responsabilité ? Les recruteurs de franchisés chez Norauto recrutent aussi sans diplômes ! Seules les compétences et expériences en management et gestion seront analysées !

D’autre part, un diplôme cantonne très facilement les candidats dans une branche. Pour s’en défaire, la franchise peut également être une bonne solution pour toutes les personnes qui souhaiteraient changer de carrière ou de secteur d’activité.

Pas l’âme d’un chef d’entreprise ? Norauto recrute des salariés à tous niveaux de diplôme et accompagne ses 6 000 collaborateurs pour qu’ils deviennent acteurs de leur évolution. La mobilité interne, la formation (5 000 stagiaires formés par an en présentiel et e-learning) et l’accompagnement de proximité sont au coeur de leur stratégie ressources humaines : avec 80 % de taux de mobilité interne, 73 % de nos directeurs de centre sont issus de la promotion interne, 78 % des responsables de vente et 90 % des chefs d’atelier.

Salariat ou franchise, pourquoi ne pas faire carrière chez Norauto ?

Devenir collaborateur Norauto

Avec l’ouverture de 10 centres auto par an, Norauto recrute en moyenne plus de 800 collaborateurs en France, essentiellement en CDI : des métiers d’ateliers, de la vente, du management, des services centraux, etc.

Consultez les offres d’emploi si vous êtes intéressés !

Devenir franchisé Norauto

Être franchisé Norauto, c’est entreprendre tout en gardant son autonomie, c’est animer un point de vente et entretenir des relations privilégiées avec sa clientèle. C’est aussi représenter une enseigne leader en France : 380 centres ont été créés en novembre 2017 !

Pour faire carrière, le partage au sein d’une entreprise est essentiel pour développer les savoirs-faire. Les franchisés Norauto sont accompagnés par les équipes franchiseur dans la gestion de leur activité au quotidien mais aussi en réseau car il existe une réelle solidarité entre les franchisés.

Intéressés ? Contactez-nous pour en savoir plus !

7 solutions pour faire fructifier son argent rapidement

Vous souhaitez réaliser un bon investissement avec une somme d’argent disponible ? Découvrez les 7 options envisageables selon les risques que vous êtes prêts à prendre et les résultats que vous voulez obtenir.

L’investissement immobilier

Quand l’on décide de faire fructifier une somme d’argent, c’est l’investissement classique ! Et depuis quelques années, l’État français encourage très fortement ce type d’investissement, à l’aide de dispositifs de défiscalisation.

C’est notamment le cas de la Loi Pinel qui permet aux particuliers propriétaires de réduire leurs impôts en proposant un ou plusieurs de leurs bien à la location.

Le placement à la banque

L’investissement en banque est le placement le plus sûr. En choisissant les livrets d’épargne, vous ne risquez pas de perdre des billes au passage. Néanmoins, ce n’est pas pour rien que cet investissement est réputé pour être le moins rémunérateur.

Alors pour mettre toutes les chances de son côté, mieux vaut choisir un établissement de renommée (qui ne risquerait pas de plier boutique d’un jour à l’autre). Et pourquoi ne pas faire jouer la concurrence en surveillant les meilleurs taux d’intérêts ?

Le trading et la bourse

C’est bien connu : l’investissement en bourse présente plus de risques, surtout si on a une connaissance limitée de ce secteur.

Pour un investissement plus sûr, cette mission peut être confiée à un courtier en bourse, connu aussi sous le nom de “broker”. Sa mission consiste à trouver les meilleurs prix pour l’achat d’actions. Comment fait-il ? En négociant directement auprès du producteur !

Investir dans une entreprise

Saviez-vous qu’il était possible d’investir dans une PME ?

Cette démarche permet de faire bénéficier d’avantages fiscaux. Les dispositifs IR-PME et ISF-PME, par exemple, permettent de déduire de ses impôts sur le revenu de 18 à 50% de votre investissement (dans la limite de 50K€).

La création d’entreprise

Pour tous ceux qui souhaitent concilier vie professionnelle et investissement, il est possible de parier sur soi-même en créant sa propre entreprise.

Avec un concept fort qui répond à une demande existante, faire fructifier votre argent peut se faire rapidement. Le bonus ? Transmettre ce patrimoine à ses descendants !

Investir dans la franchise

Pour tout ceux qui ont l’âme d’un entrepreneur mais pas d’idée lumineuse de création d’entreprise, il est tout à fait envisageable d’emprunter le concept de quelqu’un d’autre pour faire fructifier son argent.

La franchise a le vent en poupe ! Depuis les seventies, le nombre de franchiseurs n’a cessé de croître pour atteindre 1900* en 2016, soit 71 508 points de vente. La France peut être fière de ses franchises car elle se situe sur la première marche du podium européen. En effet, la franchise française enregistre une progression de 3,2% de hausse de Chiffre d’Affaires en 2016, tous secteurs confondus, ce qui représente la modique somme de 55,10 milliards d’euros. Ainsi, la franchise surpasse le commerce indépendant en termes de réussite, depuis plus de 10 ans.

Et si vous deveniez franchisé chez Norauto ?

Norauto est un concept qui a fait ses preuves avec ses 47 années d’expérience et ses 380 centres auto, dont 115 en franchise.

Norauto permet de faire fructifier son argent rapidement, une fois le centre auto ouvert. Pour vous le prouver, voici quelques chiffres éloquents sur la réussite de nos centres auto :

• Le chiffre d’affaires moyen d’un centre Norauto est donc de 108 K€ mensuels (soit 1,3 M€ de CA annuel)
• Une rentabilité moyenne de 7%, avant rémunération du dirigeant.
• Le nombre moyen d’acheteurs par magasin est de 2100 par mois soit 70 clients par jour*
• Le panier moyen d’un client Norauto est 63 €.

Être franchisé chez Norauto, c’est entreprendre en gardant son autonomie, c’est entretenir des relations de proximité avec sa clientèle d’automobilistes en animant son point de vente, c’est s’impliquer dans le tissu local. C’est aussi représenter une enseigne leader en France : 380 centres auto ont été créés en novembre 2017 !

Intéressés ? Contactez-nous pour en savoir plus !

*Selon la Fédération Française de la Franchise, chiffres de 2016
** Source : chiffres de juillet 2017. Moyenne de tous les centres Norauto, les chiffres exacts varient donc d’un centre Norauto à l’autre selon plusieurs paramètres comme la situation géographique, la gestion propre à chaque directeur, le pouvoir d’achat de la clientèle du secteur, etc.